Ce sont les monstres,
qui empêchent les dormeuses la nuit,
Balancent des tragédies
aux yeux blancs et nus
des Ingénues,
Repartent dans l'étouffant brouillard,
de là où ils sont venus
tant de cauchemars
tant d'esprits avares
D'éclats sanglants de minuit.
Marylène