Je crois que je n'y crois pas. J'ai beau retourné la phrase dans tous les sens pour moi elle ne peut pas être vrai. J'ai toujours était étonné par les gens qui avaient des croyances. Je ne parle pas celles religieuses, mais toutes les autres. Par exemple il y a des gens qui sont convaincus que la Terre est plate, on appelle ça des Flat Earters. Étonnant non ? Comme les gens qui pensent que l'on va rencontrer des aliens. Je suis quelqu'un de réfléchi, de Cartésien, j'analyse les choses, prend les faits des scientifiques, les recoupent et essaient de savoir s'ils ont raison. Je m'appuie sur ce qui a l'air crédible. Alors quand j'entends tout ces arguments, ça me semble juste être des inepties que je ne peux pas accepter.
Puis je t'ai rencontré, toi, petit bout de femme plein de croyances. Tu croyais au magnétisme, à la sophrologie, à la destinée, aux âmes sœurs, aux Ovnis, aux fantômes, à la magie, à l’homéopathie. Je n'aurais jamais dû t'écouter, ni discuter avec toi. Tu étais tellement passionnée, tellement plein d'entrain que je pouvais voir ton sourire dans chacune de tes phrases. Je n'arrivais pas à décrocher mon regard de tes lèvres, j'étais absorbée par tes mots et puis plus tard par tes baisers. J'ai crû à toutes tes gestes, à toutes tes manies, à tous tes remèdes de grand-mère, mais là je ne pouvais y croire. Quand tu m'a dit que j'étais l'homme de ta vie, qu'il n'y avait personne d'autre de mieux que moi je n'y ai pas cru. Tu étais si parfaite avec tes croyances si imparfaites que je ne pouvais croire qu'un mec aussi banal que moi puisse te plaire. Et quand je t'ai passé la bague au doigt je n'y croyais toujours pas, mais je savais une chose c'est que je t'aimais. Et ça c'est pas une croyance.
Puis je t'ai rencontré, toi, petit bout de femme plein de croyances. Tu croyais au magnétisme, à la sophrologie, à la destinée, aux âmes sœurs, aux Ovnis, aux fantômes, à la magie, à l’homéopathie. Je n'aurais jamais dû t'écouter, ni discuter avec toi. Tu étais tellement passionnée, tellement plein d'entrain que je pouvais voir ton sourire dans chacune de tes phrases. Je n'arrivais pas à décrocher mon regard de tes lèvres, j'étais absorbée par tes mots et puis plus tard par tes baisers. J'ai crû à toutes tes gestes, à toutes tes manies, à tous tes remèdes de grand-mère, mais là je ne pouvais y croire. Quand tu m'a dit que j'étais l'homme de ta vie, qu'il n'y avait personne d'autre de mieux que moi je n'y ai pas cru. Tu étais si parfaite avec tes croyances si imparfaites que je ne pouvais croire qu'un mec aussi banal que moi puisse te plaire. Et quand je t'ai passé la bague au doigt je n'y croyais toujours pas, mais je savais une chose c'est que je t'aimais. Et ça c'est pas une croyance.