Auteure : Marion Libro
Genre : Drame psychologique
Auto-Edition
Résumé : James est quelqu’un de renfermé, il ne s’ouvre que rarement à ses proches. Depuis quelques années sa vie a pris une tournure qu’il n’aurait jamais imaginé. Il est désormais prêt à prendre un nouveau départ, mais se sent-il réellement préparé à ce changement ?
Lorsqu’il rencontre Anna, ils se lient d’une amitié profonde mais très vite une ombre vient gâcher leur quotidien. Saura-t-elle l’aider à remonter à la surface, à le soutenir quoi qu’il arrive ? Leur relation réussira-t-elle à évoluer ?
Les mystères se succèdent, les secrets s’enchaînent, mais au final parviendront-ils à tous les découvrir et à avancer malgré tout ?
C’est la rentrée, donc le retour des… SERVICES PRESSES ! Yay ! Bon, après, ce n’est pas comme si j’avais totalement arrêté d’en lire pendant l’été, donc on ne peut pas vraiment parler de « rentrée ». Mais pour le mois de septembre, je dois admettre que je me suis un peu mise dans la panade, parce que j’ai un nombre de services presses assez affolant [je pense que j’ai largement frisé la barre des 20 services presses à lire entre septembre et novembre, mais je ne suis pas sûre. J’attends encore des réponses en plus !]. Du coup, j’avance petit à petit dans mes lectures, aussi parce que heh, devinez quoi, ma rentrée c’était le 13 septembre et que maintenant, bah j’ai des cours et des devoirs ? Donc moins de temps pour lire ! Brefouille, je vous parle aujourd’hui de « On n’oublie pas » de Marion Libro !
Après un très joli prologue, que j’ai trouvé très poétique et mélancolique, le récit commence. On découvre alors James [Jay] Holliger, qui vient d’arriver dans une nouvelle école et semble être de très mauvaise humeur. Ou du moins, semble l’être pendant un paragraphe avant de finalement décider de se faire discret et petit à petit essayer de s’intégrer à une bande de copain. On comprend assez rapidement qu’il garde quelques séquelles d’un passé qu’on ne comprend pas encore très bien, mais qui sont suffisamment lourdes pour qu’il y fasse de petites références, notamment à une certaine Lola [son ex]. Puis, le point de vue change et on passe alors sur Anna, la jeune femme qui aide justement James à s’intégrer dans cette nouvelle école. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les deux personnalités semblent de prime abord être à l’opposé l’une de l’autre ! Le roman tourne vraiment autour des relations, notamment entre Lola, James et Anna. Pendant un long moment, impossible de savoir si le roman espère une fin heureuse pour l’une de ses deux relations ou non. Je l’admets, j’ai trouvé la relation James/Anna absolument adorable, du début à la fin du roman.
James est un personnage étrange. Pendant les premiers chapitres, je ne savais pas vraiment si je devais l’apprécier, le prendre en pitié ou lui mettre de grandes claques pour qu’il sorte de sa léthargie. Aux fils des pages, on finit par comprendre la raison de ses sautes d’humeur, pourquoi est-ce qu’il a dû mal à s’attacher aux gens et pourquoi est-ce qu’il n’arrive pas à se rapprocher d’Anna. On découvre les dégâts créer par sa précédente relation, qui était carrément toxique. Le roman traite très finement de cette thématique : les victimes sont des victimes, les bourreaux sont des bourreaux, rien n’est romantisé et les coupables ont de ce qu’ils méritent.
Anna est plus appréciable dès le départ. Energique et plutôt drôle, elle mène une vie d’apparence agréable, tandis qu’au sein de sa famille, les choses ne sont pas aussi roses. Esseulée, elle trouve un confident en James, une sorte d’écho même. A l’opposé de James, elle n’a jamais eu de relation et semble même craindre l’idée, ce qui rend leur relation absolument adorable quand elle commence à naître. Elle est moins brisée que James certes, mais le roman prend tout de même le temps de parler de ses soucis avec sa famille (notamment sa mère) et ne relègue pas ce soucis au second plan au profit de la romance, ce qui est assez agréable.
Nota Bene : les chansons, écrites en espagnole et traduites. Elles sont incroyables et donnent vraiment une autre dimension au roman, encore plus touchant.
Genre : Drame psychologique
Auto-Edition
Résumé : James est quelqu’un de renfermé, il ne s’ouvre que rarement à ses proches. Depuis quelques années sa vie a pris une tournure qu’il n’aurait jamais imaginé. Il est désormais prêt à prendre un nouveau départ, mais se sent-il réellement préparé à ce changement ?
Lorsqu’il rencontre Anna, ils se lient d’une amitié profonde mais très vite une ombre vient gâcher leur quotidien. Saura-t-elle l’aider à remonter à la surface, à le soutenir quoi qu’il arrive ? Leur relation réussira-t-elle à évoluer ?
Les mystères se succèdent, les secrets s’enchaînent, mais au final parviendront-ils à tous les découvrir et à avancer malgré tout ?
C’est la rentrée, donc le retour des… SERVICES PRESSES ! Yay ! Bon, après, ce n’est pas comme si j’avais totalement arrêté d’en lire pendant l’été, donc on ne peut pas vraiment parler de « rentrée ». Mais pour le mois de septembre, je dois admettre que je me suis un peu mise dans la panade, parce que j’ai un nombre de services presses assez affolant [je pense que j’ai largement frisé la barre des 20 services presses à lire entre septembre et novembre, mais je ne suis pas sûre. J’attends encore des réponses en plus !]. Du coup, j’avance petit à petit dans mes lectures, aussi parce que heh, devinez quoi, ma rentrée c’était le 13 septembre et que maintenant, bah j’ai des cours et des devoirs ? Donc moins de temps pour lire ! Brefouille, je vous parle aujourd’hui de « On n’oublie pas » de Marion Libro !
Après un très joli prologue, que j’ai trouvé très poétique et mélancolique, le récit commence. On découvre alors James [Jay] Holliger, qui vient d’arriver dans une nouvelle école et semble être de très mauvaise humeur. Ou du moins, semble l’être pendant un paragraphe avant de finalement décider de se faire discret et petit à petit essayer de s’intégrer à une bande de copain. On comprend assez rapidement qu’il garde quelques séquelles d’un passé qu’on ne comprend pas encore très bien, mais qui sont suffisamment lourdes pour qu’il y fasse de petites références, notamment à une certaine Lola [son ex]. Puis, le point de vue change et on passe alors sur Anna, la jeune femme qui aide justement James à s’intégrer dans cette nouvelle école. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les deux personnalités semblent de prime abord être à l’opposé l’une de l’autre ! Le roman tourne vraiment autour des relations, notamment entre Lola, James et Anna. Pendant un long moment, impossible de savoir si le roman espère une fin heureuse pour l’une de ses deux relations ou non. Je l’admets, j’ai trouvé la relation James/Anna absolument adorable, du début à la fin du roman.
James est un personnage étrange. Pendant les premiers chapitres, je ne savais pas vraiment si je devais l’apprécier, le prendre en pitié ou lui mettre de grandes claques pour qu’il sorte de sa léthargie. Aux fils des pages, on finit par comprendre la raison de ses sautes d’humeur, pourquoi est-ce qu’il a dû mal à s’attacher aux gens et pourquoi est-ce qu’il n’arrive pas à se rapprocher d’Anna. On découvre les dégâts créer par sa précédente relation, qui était carrément toxique. Le roman traite très finement de cette thématique : les victimes sont des victimes, les bourreaux sont des bourreaux, rien n’est romantisé et les coupables ont de ce qu’ils méritent.
Anna est plus appréciable dès le départ. Energique et plutôt drôle, elle mène une vie d’apparence agréable, tandis qu’au sein de sa famille, les choses ne sont pas aussi roses. Esseulée, elle trouve un confident en James, une sorte d’écho même. A l’opposé de James, elle n’a jamais eu de relation et semble même craindre l’idée, ce qui rend leur relation absolument adorable quand elle commence à naître. Elle est moins brisée que James certes, mais le roman prend tout de même le temps de parler de ses soucis avec sa famille (notamment sa mère) et ne relègue pas ce soucis au second plan au profit de la romance, ce qui est assez agréable.
Nota Bene : les chansons, écrites en espagnole et traduites. Elles sont incroyables et donnent vraiment une autre dimension au roman, encore plus touchant.
Pour finir, je dirais que c’est un must-read. Je ne m’attendais pas à ce type d’histoire en commençant ma lecture et j’ai été très agréablement ravie. Les personnages sont riches et complexes, avec des histoires de vies tordues et sombres. Pour autant, le roman est plutôt mélancolique et avec un brin d’espoir qui grandit aux fils des pages. J’ai passé un excellent moment avec James et Anna, et je vous encourage à faire de même !