C'était la deuxième fois qu'il la voyait, et quel bonheur ils n'étaient que tous les deux. Il s'était gentiment proposé pour l'aider à résoudre un problème informatique auquel elle était confrontée. Il se souvient de la première fois qu'il l'a vu, impressionné par Lydia et ses cheveux d'un roux magnifique et ce sourire qui ne la quittait jamais. Dès le premier regard, il avait su qu'il était amoureux, que c'était elle qu'il voulait à ses côté. Impossible d'articuler un mot face à elle, il s'était résigné à l'observer de loin imaginant déjà sa main dans la sienne, sa bouche sur la sienne.
Ce message qu'elle lui a envoyé ce matin-là était une aubaine pour lui. Elle avait besoin de lui et il serait là pour elle. Bruno était prêt à tout pour sa belle aimée. C'est ainsi qu'il s'était retrouvé chez elle pour la première fois. Lui offrant un verre, ils commencèrent à discuter. Ébloui, fasciné par cette femme au corps parfait respirant la joie de vivre, il avait compris qu'il ne pouvait repartir sans lui avoir dit qu'elle l'intéressait. Tâtant le terrain, il appris qu'elle n'avait personne dans sa vie, il pris alors son courage à deux mains et lui dit :
- Si je te demande si tu as quelqu'un dans ton cœur, c'est parce que je m'intéresse à toi, ça y est c'est dit.
- Je t'intéresse ? Je t’intéresse, c'est à dire ?
- Comment ça c'est à dire, tu m'intéresse quoi, je te trouve très belle et ce depuis la première fois que je t'ai vu mais je n'ai pas su te parler tellement j'étais intimidé.
- Par moi, tu es sur ? Je ne suis pas belle, arrête. Mais attend, la première fois que l'on s'est vu, c'était il y a des mois, ça veut dire que tu penses à moi depuis tout ce temps ?
- Oui, c'est ça, et quand tu tu m'as envoyé ce message ce matin, je ne savais même pas encore si j'allais te le dire. C'est en te voyant que j'ai su que je devait te l'avouer, que je ne pouvais pas garder en moi plus longtemps, lui dit-il en lui prenant la main.
Lydia ne refusa pas le contact, au contraire elle commença à caresser sa main en lui avouant qu'elle aussi n'était pas insensible à son charme. Il ne put s'empêcher de sourire à cette révélation, lui qui avait tant peur que ça se passe pas mal. Un long silence s'installa entre eux à la fin duquel ils finirent par se rapprocher. Il posa ses mains sur son visage en douceur et se rapprocha pour l'embrasser. Elle lui rendit son baiser mais au bout de quelques secondes, Lydia recula en lui disant qu'elle n'était pas sur que ce soit une bonne idée.
Elle s'expliqua en lui rappelant la différence d'âge qui les séparait. Bruno avait 25ans et elle allait bientôt fêter son 50ème anniversaire. Qu'est ce que ça changeait essaya t'il d'argumenter, ils étaient tous deux attirés l'un vers l'autre, l'âge n'avait aucune importance. Leur rencontre se termina ainsi, elle lui promis qu'elle lui disait pas non mais qu'elle y réfléchirait. C'est confiant que Bruno rentra chez lui, plus que content, conscient qu'il a peut être sa chance avec la belle Lydia.
Les semaines passèrent, Bruno n'avait aucune nouvelle d'elle. Il ne voulait pas lui forcer la main mais il voulait tellement lui parler, avoir de ses nouvelles, qu'il lui envoya un petit texto lui demanda comment ça va ? Ce n'est qu'au bout de trois jours qu'il obtint une réponse, pas celle qu'il attendait mais une réponse quand même se disait il. En fait, elle lui demandait un coup de main car sa voiture étant en panne sur l'autoroute, elle avait besoin de lui pour venir la récupérer. Fidèle à lui-même, il vola à son secours. En arrivant, il avait essayé d'entamer la discussion au sujet de leur relation mais elle lui balança d'un ton sec que ce n'était pas le moment.
Les semaines, les mois défilaient et chaque fois c'était la même chose. Il la contactait, elle ne répondait pas, ne l'appelait jamais sauf lorsqu'elle avait besoin de lui. Bruno sentait le piège se refermait sur lui mais il ne pouvait pas laisser tomber, pour la première fois de sa vie, il était réellement fou d'amour pour une femme. Sur un coup de tête, il décida de se rendre chez elle et de discuter d'eux une bonne fois pour toute. Étant donné qu'elle le laissait dans le doute, qu'elle était très ambiguë, il ne savait plus quoi faire. Elle ne prenait jamais de ses nouvelles, le connaissait que lorsqu’elle voulait quelque chose de lui.
Arrivé sur place, Lydia fut choqué de le voir derrière sa porte et lui demanda ce qu'il faisait là, que ce n'était pas le moment. Ne l'écoutant pas, il entra et lui dit qu'il devait lui parler. Gênée par la situation, elle lui promit qu'ils en parleraient le lendemain mais que ce soir, il devait absolument partir. C'est à ce moment qu'un jeune homme plutôt bien foutu débarqua dans le salon :
- Qu'est ce qui se passe chéri, qui c'était à la porte ?
Bruno comprenait petit à petit qu'elle s'était bien fichue de lui, l'homme qui venait d'apparaître devait avoir son âge peut-être même qu'il était plus jeune.
- Tu sais, je comprends très bien que je ne puisse plaire à quelqu'un mais ce que j'aime c'est que l'on soit clair avec moi et non que l'on me fasse espérer alors qu'il ne se passera strictement rien, commença t-il lui dire.
Elle le coupa dans son élan, ne le laissant pas continuer :
- Non mais tu croyais vraiment que j'allais sortir avec toi, tu t'es vu ? On dirait un gamin encore au lycée avec tout cet acné sur ton visage, je suis quasiment sûre que tu es encore puceau, dit-elle en rigolant. J'ai besoin d'un homme, un vrai qui puisse me satisfaire, pas d'un minus comme toi qui plus est gringalet comme tu es.
Bruno ne pouvait plus entendre un mot de plus qui sortait de sa bouche pendant que l'autre imbécile ne se privait pas pour se moquait de lui. Il avait du mal à contrôler sa colère, sa tristesse. Les larmes aux yeux, il commença à lever le ton lui criant qu'elle avait joué de lui, qu'elle était ignoble, qu'il l'aimait vraiment, qu'il était prêt à tout pour elle.
- Oui je sais, j'ai su dès le début que tu ferais n'importe quoi pour moi, tu crois que je t'ai embrassé pourquoi tiens ?
La rage au ventre, il préféra rentrer chez lui avant de faire une bêtise. Il se coucha en pleur dans la position du fœtus. il fut réveillé le lendemain matin par un appel de la police qui le convoquait au poste dès qu'il le pouvait. Au poste, il découvrit celle qu'il aimait avec des bleues sur le visage avec le jeune homme de la veille le bras cassé.
Ils portaient plainte tous les deux pour agression à leur domicile.
Ce message qu'elle lui a envoyé ce matin-là était une aubaine pour lui. Elle avait besoin de lui et il serait là pour elle. Bruno était prêt à tout pour sa belle aimée. C'est ainsi qu'il s'était retrouvé chez elle pour la première fois. Lui offrant un verre, ils commencèrent à discuter. Ébloui, fasciné par cette femme au corps parfait respirant la joie de vivre, il avait compris qu'il ne pouvait repartir sans lui avoir dit qu'elle l'intéressait. Tâtant le terrain, il appris qu'elle n'avait personne dans sa vie, il pris alors son courage à deux mains et lui dit :
- Si je te demande si tu as quelqu'un dans ton cœur, c'est parce que je m'intéresse à toi, ça y est c'est dit.
- Je t'intéresse ? Je t’intéresse, c'est à dire ?
- Comment ça c'est à dire, tu m'intéresse quoi, je te trouve très belle et ce depuis la première fois que je t'ai vu mais je n'ai pas su te parler tellement j'étais intimidé.
- Par moi, tu es sur ? Je ne suis pas belle, arrête. Mais attend, la première fois que l'on s'est vu, c'était il y a des mois, ça veut dire que tu penses à moi depuis tout ce temps ?
- Oui, c'est ça, et quand tu tu m'as envoyé ce message ce matin, je ne savais même pas encore si j'allais te le dire. C'est en te voyant que j'ai su que je devait te l'avouer, que je ne pouvais pas garder en moi plus longtemps, lui dit-il en lui prenant la main.
Lydia ne refusa pas le contact, au contraire elle commença à caresser sa main en lui avouant qu'elle aussi n'était pas insensible à son charme. Il ne put s'empêcher de sourire à cette révélation, lui qui avait tant peur que ça se passe pas mal. Un long silence s'installa entre eux à la fin duquel ils finirent par se rapprocher. Il posa ses mains sur son visage en douceur et se rapprocha pour l'embrasser. Elle lui rendit son baiser mais au bout de quelques secondes, Lydia recula en lui disant qu'elle n'était pas sur que ce soit une bonne idée.
Elle s'expliqua en lui rappelant la différence d'âge qui les séparait. Bruno avait 25ans et elle allait bientôt fêter son 50ème anniversaire. Qu'est ce que ça changeait essaya t'il d'argumenter, ils étaient tous deux attirés l'un vers l'autre, l'âge n'avait aucune importance. Leur rencontre se termina ainsi, elle lui promis qu'elle lui disait pas non mais qu'elle y réfléchirait. C'est confiant que Bruno rentra chez lui, plus que content, conscient qu'il a peut être sa chance avec la belle Lydia.
Les semaines passèrent, Bruno n'avait aucune nouvelle d'elle. Il ne voulait pas lui forcer la main mais il voulait tellement lui parler, avoir de ses nouvelles, qu'il lui envoya un petit texto lui demanda comment ça va ? Ce n'est qu'au bout de trois jours qu'il obtint une réponse, pas celle qu'il attendait mais une réponse quand même se disait il. En fait, elle lui demandait un coup de main car sa voiture étant en panne sur l'autoroute, elle avait besoin de lui pour venir la récupérer. Fidèle à lui-même, il vola à son secours. En arrivant, il avait essayé d'entamer la discussion au sujet de leur relation mais elle lui balança d'un ton sec que ce n'était pas le moment.
Les semaines, les mois défilaient et chaque fois c'était la même chose. Il la contactait, elle ne répondait pas, ne l'appelait jamais sauf lorsqu'elle avait besoin de lui. Bruno sentait le piège se refermait sur lui mais il ne pouvait pas laisser tomber, pour la première fois de sa vie, il était réellement fou d'amour pour une femme. Sur un coup de tête, il décida de se rendre chez elle et de discuter d'eux une bonne fois pour toute. Étant donné qu'elle le laissait dans le doute, qu'elle était très ambiguë, il ne savait plus quoi faire. Elle ne prenait jamais de ses nouvelles, le connaissait que lorsqu’elle voulait quelque chose de lui.
Arrivé sur place, Lydia fut choqué de le voir derrière sa porte et lui demanda ce qu'il faisait là, que ce n'était pas le moment. Ne l'écoutant pas, il entra et lui dit qu'il devait lui parler. Gênée par la situation, elle lui promit qu'ils en parleraient le lendemain mais que ce soir, il devait absolument partir. C'est à ce moment qu'un jeune homme plutôt bien foutu débarqua dans le salon :
- Qu'est ce qui se passe chéri, qui c'était à la porte ?
Bruno comprenait petit à petit qu'elle s'était bien fichue de lui, l'homme qui venait d'apparaître devait avoir son âge peut-être même qu'il était plus jeune.
- Tu sais, je comprends très bien que je ne puisse plaire à quelqu'un mais ce que j'aime c'est que l'on soit clair avec moi et non que l'on me fasse espérer alors qu'il ne se passera strictement rien, commença t-il lui dire.
Elle le coupa dans son élan, ne le laissant pas continuer :
- Non mais tu croyais vraiment que j'allais sortir avec toi, tu t'es vu ? On dirait un gamin encore au lycée avec tout cet acné sur ton visage, je suis quasiment sûre que tu es encore puceau, dit-elle en rigolant. J'ai besoin d'un homme, un vrai qui puisse me satisfaire, pas d'un minus comme toi qui plus est gringalet comme tu es.
Bruno ne pouvait plus entendre un mot de plus qui sortait de sa bouche pendant que l'autre imbécile ne se privait pas pour se moquait de lui. Il avait du mal à contrôler sa colère, sa tristesse. Les larmes aux yeux, il commença à lever le ton lui criant qu'elle avait joué de lui, qu'elle était ignoble, qu'il l'aimait vraiment, qu'il était prêt à tout pour elle.
- Oui je sais, j'ai su dès le début que tu ferais n'importe quoi pour moi, tu crois que je t'ai embrassé pourquoi tiens ?
La rage au ventre, il préféra rentrer chez lui avant de faire une bêtise. Il se coucha en pleur dans la position du fœtus. il fut réveillé le lendemain matin par un appel de la police qui le convoquait au poste dès qu'il le pouvait. Au poste, il découvrit celle qu'il aimait avec des bleues sur le visage avec le jeune homme de la veille le bras cassé.
Ils portaient plainte tous les deux pour agression à leur domicile.