Chronique réalisée lors du live de Christine Hainaut produit par Dixily
"Moi, j'ai pas le cancer".
GENRE : inspiré d'une histoire vraie
Léa, quarantenaire, divorcée, vit avec ses deux enfants : Vincent qui a dix-sept ans et Victoire qui en a 14.
Tous les deux, élèves appliqués et sportifs de haut niveau...
Leur vie simple et paisible va basculer en janvier 2014...
Victoire sent 2 boules au niveau de son cou, pour se rassurer, Léa pense que sa fille à attraper à la toxoplasmose, comme elle plus jeune...
Leur médecin de famille qui les reçoit le soir même pense plutôt à la mononucléose et pour confirmé son diagnostic va lui faire faire une prise de sang...
Mais entre temps d'autres symptômes apparaissent.
Que peut bien avoir cette jeune fille qui est habituellement en parfaite santé ?
De prises de sang en examens plus poussé, le verdict tombe et il est sans appel : leucémie...
Le mot est lâché : un cancer... Le crabe comme certains l'appelle, vient de rentrer vicieusement dans leur vie...
C'est le ciel qui leur tombe véritablement sur la tête...
Que faire, comment, pour combien de temps ?
Toutes ces questions se bousculent dans la tête de Léa...
Travail, école, rendez-vous, comment s'organiser ?
L'annonce a la famille et aux amis va être également très compliqué...
Ce roman va retracer plus de 2 ans, de pleurs, de douleurs, d'acharnement, de sursis, de joie, de hauts et de bas...
Travail mis entre parenthèses pour Léa, ou d'ailleurs certains collègues ne comprendront pas pourquoi alors qu'ils sont au courant de la situation...
Le système scolaire, ou du moins le collège de victoire qui ne voudra pas entendre ce que veut victoire, ce qu'elle souhaite plus que tout et ce qu'elle espère...
Vincent qui devra se gérer seul ou presque (heureusement que l'on peut compter sur les amis...)
C'est une vie complètement chamboulée qui nous est raconté...
J'ai versé énormément de larmes en lisant ce livre, je ne compte plus les fois où j'ai dû faire une pause pour essuyer les larmes tombées sur ma liseuse et qui coulaient le long de mes joues...
J'ai ressenti de la colère, beaucoup de colère contre certaines personnes et contre un système pas toujours à l'écoute des enfants et des parents qui se battent face à une terrible maladie...
J'ai une grande admiration pour ces mêmes enfants et leurs parents, car quand un enfant est pris au piège dans son propre corps, c'est également tout son entourage qui prend cher ... Physiquement et psychologiquement...
En refermant avec difficulté ce roman, j'ai eu une pensée pour tous ces petits anges qui n'ont pas gagné leur combat et qui ont quitté cette terre trop tôt...
C'est la première fois que je fais lire en off une de mes chroniques, mais là, je ne pouvais pas ne pas demander à mon amie Jessica ce qu'elle en pensait.
Ayant elle aussi vécu la même chose il y a 8 ans, avec son petit ange IRIS qui avait à peine deux ans et demi et qui malheureusement a perdu son combat en 6 mois...
Voici le regroupement que l'on peut faire et que j'ai remarqué dans ce roman :
- les recherches se concentrent énormément sur les cancers d'adulte et pas ou très peu sur les cancers pédiatrique...
- c'est un énorme tsunami qui emporte tout sur son passage a l'annonce du verdict.
- notre enfant ne nous appartient plus, ce sont les médecins qui décident de tout et on ne peut que les regarder décider des protocoles et autres "tortures" infligés aux enfants.
Pendant et après la maladie, on met les gens mal à l'aise...
Comparé à ce roman quand ton enfant est parti, c'est un autre combat qui continue (entre autres continuer à prendre des antidépresseurs...)
En France, chaque année, ce sont 2500 enfants qui sont diagnostiqués et 500 en meurent...
Et combien en ressortent avec des séquelles à vie...
Alors pour aider à la recherche n'hésitez pas à faire des dons.
J'ai réalisé cette chronique avec mon cœur de maman et je la dédie à tous les petits et grands combattants que sont les enfants, ainsi qu'à tous les parents qui subissent cette épreuve...
À vous tous : IRIS, VICTOIRE, CLARA, LEO, JEAN...
Lien du replay :
https://www.youtube.com/live/IUzJMWFdR8c?feature=share
"Moi, j'ai pas le cancer".
GENRE : inspiré d'une histoire vraie
Léa, quarantenaire, divorcée, vit avec ses deux enfants : Vincent qui a dix-sept ans et Victoire qui en a 14.
Tous les deux, élèves appliqués et sportifs de haut niveau...
Leur vie simple et paisible va basculer en janvier 2014...
Victoire sent 2 boules au niveau de son cou, pour se rassurer, Léa pense que sa fille à attraper à la toxoplasmose, comme elle plus jeune...
Leur médecin de famille qui les reçoit le soir même pense plutôt à la mononucléose et pour confirmé son diagnostic va lui faire faire une prise de sang...
Mais entre temps d'autres symptômes apparaissent.
Que peut bien avoir cette jeune fille qui est habituellement en parfaite santé ?
De prises de sang en examens plus poussé, le verdict tombe et il est sans appel : leucémie...
Le mot est lâché : un cancer... Le crabe comme certains l'appelle, vient de rentrer vicieusement dans leur vie...
C'est le ciel qui leur tombe véritablement sur la tête...
Que faire, comment, pour combien de temps ?
Toutes ces questions se bousculent dans la tête de Léa...
Travail, école, rendez-vous, comment s'organiser ?
L'annonce a la famille et aux amis va être également très compliqué...
Ce roman va retracer plus de 2 ans, de pleurs, de douleurs, d'acharnement, de sursis, de joie, de hauts et de bas...
Travail mis entre parenthèses pour Léa, ou d'ailleurs certains collègues ne comprendront pas pourquoi alors qu'ils sont au courant de la situation...
Le système scolaire, ou du moins le collège de victoire qui ne voudra pas entendre ce que veut victoire, ce qu'elle souhaite plus que tout et ce qu'elle espère...
Vincent qui devra se gérer seul ou presque (heureusement que l'on peut compter sur les amis...)
C'est une vie complètement chamboulée qui nous est raconté...
J'ai versé énormément de larmes en lisant ce livre, je ne compte plus les fois où j'ai dû faire une pause pour essuyer les larmes tombées sur ma liseuse et qui coulaient le long de mes joues...
J'ai ressenti de la colère, beaucoup de colère contre certaines personnes et contre un système pas toujours à l'écoute des enfants et des parents qui se battent face à une terrible maladie...
J'ai une grande admiration pour ces mêmes enfants et leurs parents, car quand un enfant est pris au piège dans son propre corps, c'est également tout son entourage qui prend cher ... Physiquement et psychologiquement...
En refermant avec difficulté ce roman, j'ai eu une pensée pour tous ces petits anges qui n'ont pas gagné leur combat et qui ont quitté cette terre trop tôt...
C'est la première fois que je fais lire en off une de mes chroniques, mais là, je ne pouvais pas ne pas demander à mon amie Jessica ce qu'elle en pensait.
Ayant elle aussi vécu la même chose il y a 8 ans, avec son petit ange IRIS qui avait à peine deux ans et demi et qui malheureusement a perdu son combat en 6 mois...
Voici le regroupement que l'on peut faire et que j'ai remarqué dans ce roman :
- les recherches se concentrent énormément sur les cancers d'adulte et pas ou très peu sur les cancers pédiatrique...
- c'est un énorme tsunami qui emporte tout sur son passage a l'annonce du verdict.
- notre enfant ne nous appartient plus, ce sont les médecins qui décident de tout et on ne peut que les regarder décider des protocoles et autres "tortures" infligés aux enfants.
Pendant et après la maladie, on met les gens mal à l'aise...
Comparé à ce roman quand ton enfant est parti, c'est un autre combat qui continue (entre autres continuer à prendre des antidépresseurs...)
En France, chaque année, ce sont 2500 enfants qui sont diagnostiqués et 500 en meurent...
Et combien en ressortent avec des séquelles à vie...
Alors pour aider à la recherche n'hésitez pas à faire des dons.
J'ai réalisé cette chronique avec mon cœur de maman et je la dédie à tous les petits et grands combattants que sont les enfants, ainsi qu'à tous les parents qui subissent cette épreuve...
À vous tous : IRIS, VICTOIRE, CLARA, LEO, JEAN...
Lien du replay :
https://www.youtube.com/live/IUzJMWFdR8c?feature=share