Le chat, l'oiseau et moi,
Nous traquions en silence
les traces du renouveau
au détour de douces collines,
d'un petit joyau
Du Hainaut
Rêvant de liberté
En contemplant le souffle
du vent, du temps
qui ridulait la surface
d'une eau-miroir.
Nous laissions dans le vent
Le chant des trépassés
Qui ouvraient grands leurs bras
La nature se faisait peintre alors
Mêlant les verts aux bruns
Mêlant les bruns aux verts
En esthète et poète
Et tressant dans les blés
La corde de nos rêves
Trouvant le lieu parfait,
Pour laisser s'enchanter
Un ruisseau de mémoire
Et sous un ciel d'enclume,
Dans un éclat vert vif
Flamboyer le printemps
Le chat, l'oiseau et moi
Y étions bien présents
Suivant le rythme lent
Du pas d'un cheval blanc
Caressé par le vent
Nous traquions en silence
les traces du renouveau
au détour de douces collines,
d'un petit joyau
Du Hainaut
Rêvant de liberté
En contemplant le souffle
du vent, du temps
qui ridulait la surface
d'une eau-miroir.
Nous laissions dans le vent
Le chant des trépassés
Qui ouvraient grands leurs bras
La nature se faisait peintre alors
Mêlant les verts aux bruns
Mêlant les bruns aux verts
En esthète et poète
Et tressant dans les blés
La corde de nos rêves
Trouvant le lieu parfait,
Pour laisser s'enchanter
Un ruisseau de mémoire
Et sous un ciel d'enclume,
Dans un éclat vert vif
Flamboyer le printemps
Le chat, l'oiseau et moi
Y étions bien présents
Suivant le rythme lent
Du pas d'un cheval blanc
Caressé par le vent