Dans la nuit sombre
Je vois un jeu d'ombres
Dans le noir
Je perds tout espoir
De revoir la lumière
Qui déjà vacillait hier
Qui me sortira de cet enfer
Dans lequel j’ai déjà tant souffert ?
Dans la nuit sombre
A la peur je succombe
J'entends des bruits
Qui ne s’arrêtent pas, même après minuit
C’est réel, pas seulement dans mon esprit
Dans mes mains j’ai ma tête enfouit
Un noir si sombre
Qu’il viendrait d’outre-tombe
Dans la nuit sombre
Mes jambes s’effondrent
Dans cette pénombre
Là, sera sûrement ma tombe
Mais le bruit s’estompe
Ce silence soudain qui me terrifie
Les cris du silence qui me pétrifient
Je ne peux le supporter plus longtemps
Je dois être plus résistante
Du courage je dois m’armer en combattant
Pour m’en aller triomphante
Car dans ce noir, se cache les ténèbres
Si je reste mon destin sera funèbre
Dans la nuit sombre
Encore, le silence persiste
Aussi lourd que surréaliste
Je ne suis pas fataliste
Mais ma fin est écrite
Je le sais, je la sens
Mon impuissance
Face à cette malfaisance
Mais voilà que revient ce bruit assourdissant
Je l’attends frémissante
Il m’attrape, je me défends
Me débattant
Mais il est trop puissant
Capitulant
Face à ma faiblesse rebutante
Je ferme mes yeux larmoyants
Et j’attends
La nuit sombre
M’emporte avec elle
Dans son monde immonde
Restera-t-il de moi une simple ombre ?
LAMINA
Je vois un jeu d'ombres
Dans le noir
Je perds tout espoir
De revoir la lumière
Qui déjà vacillait hier
Qui me sortira de cet enfer
Dans lequel j’ai déjà tant souffert ?
Dans la nuit sombre
A la peur je succombe
J'entends des bruits
Qui ne s’arrêtent pas, même après minuit
C’est réel, pas seulement dans mon esprit
Dans mes mains j’ai ma tête enfouit
Un noir si sombre
Qu’il viendrait d’outre-tombe
Dans la nuit sombre
Mes jambes s’effondrent
Dans cette pénombre
Là, sera sûrement ma tombe
Mais le bruit s’estompe
Ce silence soudain qui me terrifie
Les cris du silence qui me pétrifient
Je ne peux le supporter plus longtemps
Je dois être plus résistante
Du courage je dois m’armer en combattant
Pour m’en aller triomphante
Car dans ce noir, se cache les ténèbres
Si je reste mon destin sera funèbre
Dans la nuit sombre
Encore, le silence persiste
Aussi lourd que surréaliste
Je ne suis pas fataliste
Mais ma fin est écrite
Je le sais, je la sens
Mon impuissance
Face à cette malfaisance
Mais voilà que revient ce bruit assourdissant
Je l’attends frémissante
Il m’attrape, je me défends
Me débattant
Mais il est trop puissant
Capitulant
Face à ma faiblesse rebutante
Je ferme mes yeux larmoyants
Et j’attends
La nuit sombre
M’emporte avec elle
Dans son monde immonde
Restera-t-il de moi une simple ombre ?
LAMINA