Durant le Salon du livre Iris Noir 2023 à Bruxelles, j'ai eu la chance de rencontrer de nombreux auteur·rice·s, dont Stanislas Petrosky (@Stanislas Petrosky), qui a accepté de répondre à quelques questions pour Dixily.
Pour débuter cette interview et pour les personnes qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
Après avoir passé 30 ans à préserver les corps des défunts, je suis aujourd’hui enseignant en thanatopraxie dans un centre de formation spécialisé. Auteur de nombreux ouvrages, je débute une série autour de l’une de mes passions : l’anthropologie criminelle et ses fondateurs. Prenant pour base de véritables affaires traitées par le professeur Alexandre Lacassagne, je vous plonge dans cet univers si particulier qu’est le monde du crime au tournant du XIXe siècle.
Votre rapport à l'écriture
Quand avez-vous commencé à écrire ? Quel a été l'élément déclencheur ?
Il y a 11 ans, je lisais beaucoup, je rencontrais des auteurs, c'est venu doucement, des gens comme Nadine Monfils, ma "marraine" en écriture, m'ont dit lance-toi, j'ai tenté l'aventure...
Quelles sont vos sources d'inspiration ?
Dorénavant l'Histoire, particulièrement celle de l'anthropologie criminelle au XIX siècle, j'ai joué avec plusieurs genres, pour voir, pour tester, et j'ai fait mon choix, c'est le roman policier - ou noir - mais toujours historique.
Pouvez-vous partager une anecdote intéressante ou amusante que vous avez vécue en tant qu'auteur ?
Dans le premier opus de la série Surin d'Apache, je décris un tatouage fait au XIX siècle, époque où le tatouage était bien moins courant que de nos jours, et surtout réservé plus à un milieu marginale. Une lectrice m'a envoyé un courriel, avec des détails sur la vie de l'un de ces ancêtres qui avait le même ornement gravé dans le derme, ce monsieur a dû croiser certains protagonistes du roman...
Votre dernier livre
Quel est le titre de votre dernier livre ? De quoi parle-t-il ?
L'AFFAIRE ECHALLIER
Une affaire criminelle au XIX siècle, en 1889, à Lyon, c'est là que l'on va découvrir qu'une arme signe son crime, la naissance de la balistique moderne, le tout romancé.
Quel a été le point de départ de celui-ci ?
Les archives...
Les documents d'époques, je travaille d'après les interrogatoires, les procès-verbaux, les rapports d'autopsie, la presse, le tout pour être le proche de la réalité, pour que dans un roman policier, on découvre ce qui a fait ce que l'on nomme aujourd'hui la police technique et scientifique.
De la première idée aux dernières lignes, combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre ?
Pour faire un opus de la série, entre les recherches, l'écriture, la relecture, le travail éditorial, il faut compter pas loin d'une année...
Un dernier mot pour la fin ?
Un dernier mot pour clôturer cette interview ?
Merci beaucoup de vous intéresser au travail des auteurs, et n'hésitez pas à vous plonger dans les romans policiers historiques, vous y trouverez du suspens, de l'investigations et y ferez quelques découvertes intéressantes.
Si vous souhaitez suivre Stanislas Petrosky
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Photo prise par Mathis Bigras (@Mat) durant le Salon du livre Iris Noir 2023 à Bruxelles
Pour débuter cette interview et pour les personnes qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
Après avoir passé 30 ans à préserver les corps des défunts, je suis aujourd’hui enseignant en thanatopraxie dans un centre de formation spécialisé. Auteur de nombreux ouvrages, je débute une série autour de l’une de mes passions : l’anthropologie criminelle et ses fondateurs. Prenant pour base de véritables affaires traitées par le professeur Alexandre Lacassagne, je vous plonge dans cet univers si particulier qu’est le monde du crime au tournant du XIXe siècle.
Votre rapport à l'écriture
Quand avez-vous commencé à écrire ? Quel a été l'élément déclencheur ?
Il y a 11 ans, je lisais beaucoup, je rencontrais des auteurs, c'est venu doucement, des gens comme Nadine Monfils, ma "marraine" en écriture, m'ont dit lance-toi, j'ai tenté l'aventure...
Quelles sont vos sources d'inspiration ?
Dorénavant l'Histoire, particulièrement celle de l'anthropologie criminelle au XIX siècle, j'ai joué avec plusieurs genres, pour voir, pour tester, et j'ai fait mon choix, c'est le roman policier - ou noir - mais toujours historique.
Pouvez-vous partager une anecdote intéressante ou amusante que vous avez vécue en tant qu'auteur ?
Dans le premier opus de la série Surin d'Apache, je décris un tatouage fait au XIX siècle, époque où le tatouage était bien moins courant que de nos jours, et surtout réservé plus à un milieu marginale. Une lectrice m'a envoyé un courriel, avec des détails sur la vie de l'un de ces ancêtres qui avait le même ornement gravé dans le derme, ce monsieur a dû croiser certains protagonistes du roman...
Votre dernier livre
Quel est le titre de votre dernier livre ? De quoi parle-t-il ?
L'AFFAIRE ECHALLIER
Une affaire criminelle au XIX siècle, en 1889, à Lyon, c'est là que l'on va découvrir qu'une arme signe son crime, la naissance de la balistique moderne, le tout romancé.
Quel a été le point de départ de celui-ci ?
Les archives...
Les documents d'époques, je travaille d'après les interrogatoires, les procès-verbaux, les rapports d'autopsie, la presse, le tout pour être le proche de la réalité, pour que dans un roman policier, on découvre ce qui a fait ce que l'on nomme aujourd'hui la police technique et scientifique.
De la première idée aux dernières lignes, combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre ?
Pour faire un opus de la série, entre les recherches, l'écriture, la relecture, le travail éditorial, il faut compter pas loin d'une année...
Un dernier mot pour la fin ?
Un dernier mot pour clôturer cette interview ?
Merci beaucoup de vous intéresser au travail des auteurs, et n'hésitez pas à vous plonger dans les romans policiers historiques, vous y trouverez du suspens, de l'investigations et y ferez quelques découvertes intéressantes.
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Photo prise par Mathis Bigras (@Mat) durant le Salon du livre Iris Noir 2023 à Bruxelles