Durant le Salon du livre Iris Noir 2023 à Bruxelles, j'ai eu la chance de rencontrer de nombreux auteur·rice·s, dont Grégoire Godinaud (@Grégoire Godinaud), qui a accepté de répondre à quelques questions pour Dixily.
Pour débuter cette interview et pour les personnes qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
Je m'appelle Grégoire, j'ai 27 ans et je suis kinésithérapeute. Lyonnais d’adoption, je partage également ma vie entre mes deux autres passions : la composition musicale et l’écriture.
Votre rapport à l'écriture
Quand avez-vous commencé à écrire ? Quel a été l'élément déclencheur ?
À l'âge de 11 ans, en voyage avec ma famille, au retour d'une excursion, j'ai simplement été traversé par cette envie. Écrire, raconter des histoires, inventer des énigmes, faire voyager le lecteur, à ma manière.
Quelles sont vos sources d'inspiration ?
Les voyages, les gens que je rencontre, les lieux que je visite, mon métier également est très stimulant pour mon imaginaire, parce que j'y rencontre des gens de tous horizons. Ils sont une source de connaissance et de renseignements inépuisables pour les différents thèmes que j'aborde dans mes livres mais je ne m'inspire jamais d'eux directement. Ils me permettent plutôt d'explorer des thèmes vers lesquels je ne serais pas forcément allé de prime abord.
Pouvez-vous partager une anecdote intéressante ou amusante que vous avez vécue en tant qu'auteur ?
L'une de mes patientes qui ne savait pas que j'écrivais est revenue des vacances de noël en me traitant de petit cachotier parce que sa meilleure amie (que je ne connaissais pas) lui avait offert mon roman pour noël en lui disant qu'elle l'avait adoré. En voyant mon nom sur la couverture, elle s'est d'abord dit que celui lui disait quelque chose, et en vérifiant sur internet, elle s'est aperçue que c'était bien moi. Elle s'est alors tournée vers son amie et lui a dit : "incroyable, tu ne devineras jamais, ce gars-là, c'est mon kiné !".
Votre dernier livre
Quel est le titre de votre dernier livre ? De quoi parle-t-il ?
Mon dernier roman s'appelle "La chanson blanche". Il y est question du crash d'un avion dont on n'a retrouvé ni les boîtes noires, ni la carcasse, ni les corps des passagers. Quatre ans après, un mystérieux sac étanche est repêché. À l'intérieur, des éléments accusent l'un des passagers mais celui-ci n'aurait jamais dû se trouver à bord. Commence alors la quête de son frère prêt à tout pour l'innocenter. Il va alors découvrir les liens qui reliaient les passagers entre eux…
Quel a été le point de départ de celui-ci ?
La théorie des 6 degrés de séparation, sans aucun doute. Elle énonce que chaque être humain est relié à tous les autres par une chaîne de relations individuelles comprenant au maximum cinq maillons. Dès lors, nous serions tous reliés… d'où l'idée d'enfermer des passagers qui ne se connaissent pas et n'ont rien à voir les uns avec les autres dans un avion, pour le côté huis-clos, et qui pourtant sont tous liés. Il y a eu ensuite un voyage aux États-Unis, New-York, Boston… pour planter le décor de ce vol Boston-Paris. Et enfin, la musique. Elle est au coeur de l'histoire, c'était pour moi une façon de mêler mes deux passions et je l'ai donc intégrée au roman d'une façon particulière. Pour le découvrir, rendez-vous à la fin du roman pour prolonger un peu la lecture...
De la première idée aux dernières lignes, combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre ?
Environ 2 ans, sans compter le travail éditorial ensuite qui a duré 6 mois.
Un dernier mot pour la fin ?
Un dernier mot pour clôturer cette interview ?
Vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux pour suivre mes aventures littéraires et musicales, il se pourrait bien qu'il y ait quelques surprises très prochainement.
Si vous souhaitez suivre Grégoire Godinaud
Instagram - TikTok - YouTube
Photo prise par Camille Dupont (@Camille Dupont) durant le Salon du livre Iris Noir 2023 à Bruxelles
Pour débuter cette interview et pour les personnes qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
Je m'appelle Grégoire, j'ai 27 ans et je suis kinésithérapeute. Lyonnais d’adoption, je partage également ma vie entre mes deux autres passions : la composition musicale et l’écriture.
Votre rapport à l'écriture
Quand avez-vous commencé à écrire ? Quel a été l'élément déclencheur ?
À l'âge de 11 ans, en voyage avec ma famille, au retour d'une excursion, j'ai simplement été traversé par cette envie. Écrire, raconter des histoires, inventer des énigmes, faire voyager le lecteur, à ma manière.
Quelles sont vos sources d'inspiration ?
Les voyages, les gens que je rencontre, les lieux que je visite, mon métier également est très stimulant pour mon imaginaire, parce que j'y rencontre des gens de tous horizons. Ils sont une source de connaissance et de renseignements inépuisables pour les différents thèmes que j'aborde dans mes livres mais je ne m'inspire jamais d'eux directement. Ils me permettent plutôt d'explorer des thèmes vers lesquels je ne serais pas forcément allé de prime abord.
Pouvez-vous partager une anecdote intéressante ou amusante que vous avez vécue en tant qu'auteur ?
L'une de mes patientes qui ne savait pas que j'écrivais est revenue des vacances de noël en me traitant de petit cachotier parce que sa meilleure amie (que je ne connaissais pas) lui avait offert mon roman pour noël en lui disant qu'elle l'avait adoré. En voyant mon nom sur la couverture, elle s'est d'abord dit que celui lui disait quelque chose, et en vérifiant sur internet, elle s'est aperçue que c'était bien moi. Elle s'est alors tournée vers son amie et lui a dit : "incroyable, tu ne devineras jamais, ce gars-là, c'est mon kiné !".
Votre dernier livre
Quel est le titre de votre dernier livre ? De quoi parle-t-il ?
Mon dernier roman s'appelle "La chanson blanche". Il y est question du crash d'un avion dont on n'a retrouvé ni les boîtes noires, ni la carcasse, ni les corps des passagers. Quatre ans après, un mystérieux sac étanche est repêché. À l'intérieur, des éléments accusent l'un des passagers mais celui-ci n'aurait jamais dû se trouver à bord. Commence alors la quête de son frère prêt à tout pour l'innocenter. Il va alors découvrir les liens qui reliaient les passagers entre eux…
Quel a été le point de départ de celui-ci ?
La théorie des 6 degrés de séparation, sans aucun doute. Elle énonce que chaque être humain est relié à tous les autres par une chaîne de relations individuelles comprenant au maximum cinq maillons. Dès lors, nous serions tous reliés… d'où l'idée d'enfermer des passagers qui ne se connaissent pas et n'ont rien à voir les uns avec les autres dans un avion, pour le côté huis-clos, et qui pourtant sont tous liés. Il y a eu ensuite un voyage aux États-Unis, New-York, Boston… pour planter le décor de ce vol Boston-Paris. Et enfin, la musique. Elle est au coeur de l'histoire, c'était pour moi une façon de mêler mes deux passions et je l'ai donc intégrée au roman d'une façon particulière. Pour le découvrir, rendez-vous à la fin du roman pour prolonger un peu la lecture...
De la première idée aux dernières lignes, combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre ?
Environ 2 ans, sans compter le travail éditorial ensuite qui a duré 6 mois.
Un dernier mot pour la fin ?
Un dernier mot pour clôturer cette interview ?
Vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux pour suivre mes aventures littéraires et musicales, il se pourrait bien qu'il y ait quelques surprises très prochainement.
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Photo prise par Camille Dupont (@Camille Dupont) durant le Salon du livre Iris Noir 2023 à Bruxelles