Durant le Salon du Livre de Wallonie 2023 à Mons, j'ai eu la chance de rencontrer de nombreux auteur·rice·s, dont Francesco Pittau (@Pittau F.), qui a accepté de répondre à quelques questions pour Dixily.
Pour débuter cette interview et pour les personnes qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
J'écris principalement, peu importe le lectorat ou le genre : roman, poèmes, scénarios, théâtres, albums pour la jeunesse ou pour la bande dessinée.
Votre rapport à l'écriture
Quand avez-vous commencé à écrire ? Quel a été l'élément déclencheur ?
Dès que j'ai su écrire. Avant je me racontais des histoires dans la tête, ou je les racontais aux autres.
Quelles sont vos sources d'inspiration ?
Je n'ai pas de sources d'inspiration. Ça tient plus de l'expiration que de l'inspiration.
Pouvez-vous partager une anecdote intéressante ou amusante que vous avez vécue en tant qu'auteur ?
Je ne comprends pas très bien cette question. Quand on écrit, il y a peu de chance que l'on soit le protagoniste d'une anecdote autour de l'écriture. C'est un travail solitaire. J'imagine que les comédiens ou ceux qui font des lectures publiques ont des choses amusantes à raconter autour de leur activité. J'ai des tas d'anecdotes, mais qui n'ont aucun rapport avec le fait d'écrire.
Votre dernier livre
Quel est le titre de votre dernier livre ? De quoi parle-t-il ?
Mon dernier roman a été publié chez Buchet Chastel et s'intitule "Tête-Dure". Il raconte vingt-quatre de la vie d'un petit garçon âgé de 6/7 ans, en octobre 1962, du 27 au 28, veille d'une possible déclaration de guerre entre l'Union Soviétique et les USA. La crise mondiale est mise en parallèle avec une crise familiale , mais à hauteur d'enfant.
Quel a été le point de départ de celui-ci ?
Je ne me rappelle plus exactement... je sais que je suis parti de cette scène dans laquelle un soldat américain poursuit un Indien, mais en fait il s'agit de deux figurines en plastique avec lesquelles jouent ou jouaient les enfants alors. Et après j'ai dévidé la bobine. Tout simplement.
De la première idée aux dernières lignes, combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre ?
Pour le premier jet, j'ai mis dix jours. Puis je l'ai laissé reposer... et j'ai dû le reprendre pendant deux ou trois jours. Puis une dernière correction pendant un un ou deux jours avant publication (coquilles, oubli, fautes de frappe ou de ponctuation).
Photo prise par Camille Dupont (@Camille Dupont) durant le Salon du Livre de Wallonie 2023 à Mons
Pour débuter cette interview et pour les personnes qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
J'écris principalement, peu importe le lectorat ou le genre : roman, poèmes, scénarios, théâtres, albums pour la jeunesse ou pour la bande dessinée.
Votre rapport à l'écriture
Quand avez-vous commencé à écrire ? Quel a été l'élément déclencheur ?
Dès que j'ai su écrire. Avant je me racontais des histoires dans la tête, ou je les racontais aux autres.
Quelles sont vos sources d'inspiration ?
Je n'ai pas de sources d'inspiration. Ça tient plus de l'expiration que de l'inspiration.
Pouvez-vous partager une anecdote intéressante ou amusante que vous avez vécue en tant qu'auteur ?
Je ne comprends pas très bien cette question. Quand on écrit, il y a peu de chance que l'on soit le protagoniste d'une anecdote autour de l'écriture. C'est un travail solitaire. J'imagine que les comédiens ou ceux qui font des lectures publiques ont des choses amusantes à raconter autour de leur activité. J'ai des tas d'anecdotes, mais qui n'ont aucun rapport avec le fait d'écrire.
Votre dernier livre
Quel est le titre de votre dernier livre ? De quoi parle-t-il ?
Mon dernier roman a été publié chez Buchet Chastel et s'intitule "Tête-Dure". Il raconte vingt-quatre de la vie d'un petit garçon âgé de 6/7 ans, en octobre 1962, du 27 au 28, veille d'une possible déclaration de guerre entre l'Union Soviétique et les USA. La crise mondiale est mise en parallèle avec une crise familiale , mais à hauteur d'enfant.
Quel a été le point de départ de celui-ci ?
Je ne me rappelle plus exactement... je sais que je suis parti de cette scène dans laquelle un soldat américain poursuit un Indien, mais en fait il s'agit de deux figurines en plastique avec lesquelles jouent ou jouaient les enfants alors. Et après j'ai dévidé la bobine. Tout simplement.
De la première idée aux dernières lignes, combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre ?
Pour le premier jet, j'ai mis dix jours. Puis je l'ai laissé reposer... et j'ai dû le reprendre pendant deux ou trois jours. Puis une dernière correction pendant un un ou deux jours avant publication (coquilles, oubli, fautes de frappe ou de ponctuation).
Photo prise par Camille Dupont (@Camille Dupont) durant le Salon du Livre de Wallonie 2023 à Mons